MercurArt

6 domaines d’intérêt : les 21 œuvres (sculptures ou installations), les dispositions architecturales relevant des Arts et Métiers, la poésie proposée de banc en banc, les collections botaniques dont ses 100 variétés de rosiers, la grande diversité de la faune filmée et photographiée et enfin le volet technologique.
Jean-Claude Millet, créateur du jardin est par ailleurs Académicien des technologies et il partage ses travaux relatifs aux richesses de cet espace.

Une SAS à mission porte le projet de Mercurart de produire une œuvre placée sous l’égide de l’esthétique, une discipline conceptualisée par Jean-Claude Millet. Elle implique une manière de penser, une manière d’être et une manière de faire. Elle s’applique à la fois à l’intention de l’œuvre et à l’œuvre.
Elle ne dissocie jamais le beau et le bien, quels que soient les domaines au sein desquels elle puise ses pratiques ; les Arts, la littérature, la Science, la technologie…
Elle a produit avec Joël Paubel, l’idée d’une serre de culture de plantes virtuelles telles : « les fleurs de la Compassion, les arbres de l’Altruisme, les chênes de la Fraternité, les coquelicots du Sermon sur la Montagne et les roses de la Confiance. »
Elle a préfiguré une balance virtuelle qui pèse l’Égalité en posant sur un plateau la Liberté et sur l’autre la Fraternité.
Mais, « Tout ce qui se mesure est privé de la réalité qui ne se mesure pas. » Alors, loin des projets technologiques conformistes des aventuriers des conquêtes de territoires extérieurs qui mettent en cause l’homéostasie de la planète, le jardin de Mercurart et ses lieux de résidence sont un espace de création artistique et technologique tourné vers un progrès de l’homme allant vers l’Homme.